HORS-BORD:
-en cas de panne ça se répare facilement sinon on le débarque et on l'emmène chez le concessionnaire dans une brouette et on s'en fait pre^ter un autre...
-en hiver on le me^ts au chaud chez soi et on peut le bichonner...
-ça se revends facilement et on peut en prendre un neuf (4-temps / 6 c.v. / arbre court)
L'INBOARD:
-sur un 6.50 m, c'est l'usine!
-poids, accessibilité pour manutention/réparation
-réservoir carburant,durite de mise à l'air libre,entrée de carburant
-tube passe-coque, presse-étoupe
-ligne d'arbre,accouplement, ba^ti
-échappement, pot mélangeur, prise d'eau
-ventilation/isolation (odeurs/bruit)
-commandes à distance, tableau
-2ème batterie... et j'en passe!
C'est peut-e^tre plus rentable d'investir dans un jeu de voiles neuves de haute qualité et/ou un haubanage en 5mm.
De toutes façons à partir de force 7,sur un petit voilier qui bouchonne, in-board ou hors-bord, ça ne sert plus à rien mais tant que le ma^t reste à sa place il y a le vent...
Il y a bien quelques réalisations efficaces en Méditerranée mais c'est plus dans l'esprit pèche-promenade. Il y a aussi en sud-bretagne un golif équipé en S-Drive.